Odtwarzanie przez Spotify Odtwarzanie przez YouTube
Przejdź do wideo YouTube

Ładowanie odtwarzacza...

Scrobblujesz ze Spotify?

Powiąż swoje konto Spotify ze swoim kontem Last.fm i scrobbluj wszystko czego słuchasz z aplikacji Spotify na każdym urządzeniu lub platformie.

Powiąż ze Spotify

Usuń

Nie chcesz oglądać reklam? Ulepsz teraz

Pocket Symphony

Le nouvel album du duo Versaillais Air est prévu pour le mois de mars. Toutefois, j’ai été en mesure de l’écouter. Je vous livre ma critique.
Bien que puissant, l’auditeur est malheureusment attiré dans un abîme de plus en plus profond, malgré certaines poches d’air frais le long de son parcours.
Space Maker: s’ouvre en grand avec un style électronique digne du plus grand d’Air. Les percussions sont bien détachées et la guitare semblable a 10 000 hz Legend s’y marie bien. Original ? Non. La guitare est tout simplement la même ou presque que “New Star in the Sky” tiré du classique Moon Safari.
On espère alors quelque chose de grandiose. Vite. Prochaine piste !
Once Upon a Time contient sans nul doute une certaine émotion. On commence à parler Air. Très bonne pièce, paroles très “Air”, la percussion électronique est très bien placée. C’est un titre très planant qui rappelle Talkie Walkie. Première poche d’air de l’écoute !
One Hell of a Party: rien à dire. Ce n’est pas Air.
Napalm Love. On retrouve encore une fois des pads tirés de précédents albums, mélangés à un son de piano électronique. Totalement non original donc. Un pastiche de leur propre musique. C’est dommage. Basse copiée sur All I Need de Moon Safari. Toutefois, cette impression est contre balancée par un pad électronique très judicieusement choisi. L’impression globale nous fait retenir une pièce très puissante et digne d’Air.
Mayfair Song. Ambiance. On peut aimer ou pas…. Le style de pièce d’Air qui aurait du clore l’album.
Left Bank. Commence sur le même ton que Another Day de Talkie Walkie. Exactement le même. Une copie d’une copie. Par contre, la guitare et les nappes de synthétiseurs qui s’y mêlent sont sympathiques et la mélodie reste en tête. Loin du génie dont Air est capable. L’abîme n’est plus très loin.
Photograph est une poche d’air sous l’asphyxie de cet album. Il s’agit de la meilleur pièce. Tous les ingrédients essentiels pour une grande pièce d’air sont présents. Guitare en mineur, voix asexuée de Dunckel, piano passionné, effets électroniques subtils. C’est du Air. Mais du Air exactement semblable à Talkie Walkie. Un peu comme s’il s’agissait d’une piste rejetée de leur précédent album. Très intéressant donc, mais aucunement original. C’est Air, c’est kitch, c’est French touch, mais ce n’est pas nouveau. Par contre, les émotions sont là et c’est ce qui compte.
Mer du Japon. Reprend un peu le style expérimental de 10,000 Hz Legend. Ennuyant.
Lost Message. Piano à la Moon Safari. Mélancolie semblable au single “Easy Going Woman”. Pas original.
Somewhere Between Wakking and Sleeping. Le piano seulement et l’accompagnement pourraient soutirer quelques émotions. Mais la collaboration vocale gâche tout à mon avis.
Redhead Girl. Nappes très Aériennes. Rythme semblable à “Alone in Kyoto”. Piano intéressant. Petit côté jazzé à la Moon Safari. Pastiche.
Night Sight. Semblable à Bathroom Spirit de Darkel. Pièce ambiante mais non Aérienne.
Verdict ? C’est du Air. Mais du Air sous forme de plat préparé. Il fallait vraiment attendre trois ans pour “ça” ? Désolé mais non. Dans un esprit de minimalisme kitch, j’ai grandement préféré l’album solo de Jean-Benoît Dunckel, Darkel. Ce n’était pas parfait, mais au moins c’était original.
2/5, pour les deux pièces dignes de figurer sur un album d’Air. Ou est passée ma Cherry Blossom Girl ? Hélas ! La machine à remonter dans le temps n'existe pas pour se faufiler dans ce double sens.

Nie chcesz oglądać reklam? Ulepsz teraz

API Calls